Elsa Grether, violon et Ferenc Vizi, piano

Sortie du CD : Mars 2025 (Label Aparté)

« Ce nouveau CD, mon 6e opus, est un projet personnel, à la recherche d’un grand-père espagnol que je n’ai pas connu.

C’est un voyage au coeur de l’Espagne, des mille couleurs de sa musique si caractéristique imprégnée de folklore, de poésie, de mystère, d’énergie, de nostalgie et de passion. 

Le programme est composé de « tubes » et de raretés: de Manuel De Falla, Joaquin Turina, Joaquin Rodrigo à Enrique Granados et la Fantaisie de Carmen de Pablo de Sarasate (ainsi que d’autres surprises), toutes ces oeuvres célèbrent l’âme espagnole, sa lumière et son authenticité ».

Elsa Grether

Extraits presse du précédent CD Poème Mystique (E. Bloch/ Arvo Pärt) d’Elsa Grether et Ferenc Vizi :

Classica Magazine : 4 étoiles. Critique de Franck Mallet

« Sa maîtrise confondante ne mérite que des éloges : virtuosité incandescente dans le « moderato » final de la Sonate no.1, soutenue sans faille par le piano rageur de Ferenc Vizi, poésie suprême dès les premiers accords de la Sonate no.2, où, avec son accompagnateur complice, elle trouve la justesse idéale pour aborder les climats contrastés d’une musique rhapsodique qui virevolte et palpite à chaque instant. Le fort sentiment de liberté, souhaité par le compositeur (…) trouve dans le jeu des interprètes une vitalité renouvelée.
Idem de l’ivresse incisive avec laquelle Elsa Grether porte Nigun (…), opportunément débarrassé de ses trop convenus effets larmoyants… Fratres (…) est un complément idéal sous les doigts de la violoniste, qui en capte à la fois l’énergie crâneuse (et répétitive) et la profonde élévation spirituelle, culminant des les pianissimos d’un suraigu final à se pâmer. Un disque magnifique. »

Diapason Magazine : 5 Diapasons. Critique de Jean-Michel Molkhou

«  (…) Ce diptyque, émanant de l’un des créateurs les plus authentiques du XXe siècle, trouve en Elsa Grether et Ferenc Vizi deux interprètes profondément investis. La sincérité de leur inspiration, leur complicité ne laissent aucun doute et signent une version particulièrement attachante.

Gramophone Magazine, critique d’Edward Greenfield

« Il serait difficile d’imaginer une version plus émouvante de toute cette musique que celle de Grether, dont la foi en leur message est exprimée dans sa propre note dans le livret. (…) J’ai hâte d’entendre davantage d’Elsa Grether ».